Bixente53 a écrit:dom44 a écrit:Une politique de jeune ce serait de garder les rares jeunes qui ont le niveau plus que 6 ou 12 mois avant de les vendre. Sinon, on a du mal à comprendre l'utilité du centre de formation, à part compenser les points perdus par l'état de notre stade dans la licence club.
En L2 que tu le veuilles ou non Dom tu n'as pas le choix. Les bons jeunes font 6 mois/1 an et sont vendus. L'équilibre budgétaire d'un club de L2 passe par là. C'est triste et frustrant mais c'est une obligation. Le dernier tiers des clubs de L2 les moins riches sont et seront toujours confrontés à ça. Pas le choix!
La solution: Trouver de nouvelles richesses. Par quel moyen, je te laisse y songer.
Avant la dernière réforme de la licence club (qui donne plus de points aux structures et notamment aux centres de formation), tu avais quand même le choix d'avoir ou de ne pas avoir un centre de formation labellisé par la FFF. Les rares petits budgets ayant réussie à décrocher l'accession en ligue 1 n'en avait pas : Arles, Ajaccio ou Angers (ouvert seulement lors de l'année de l'accession après avoir régulièrement amélioré son budget grâce à ces bonnes performances), d'autres clubs ayant fait ce choix comme Clermont était régulièrement mieux classé que les clubs ayant fait le choix inverse : Laval ou Chateauroux.
Le coût du centre de formation c'est 1 million d'euros par ans. Il faut donc vendre un Guirassy ou un Mukiele tout les ans pour équilibrer son budget. Or, avec le million (15 % du budget du club) économisé sur le centre, nous aurions pu prétendre à recruter des joueurs d'un autre niveau que les rebuts de notre centre de formation ou à ceux qui avec seulement 10 matchs de ligue 2 aspirent déjà à aller cirer le banc ailleurs.
Maintenant, suite à la réforme de la licence club, tu n'as plus vraiment le choix, il te faut un centre de formation, surtout quand ton stade est en ruine. Clermont a ouvert le sien en juillet 2016, Bourg-Peronnas ouvrira le sien en juillet 2018...