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Lun 20 Mar 17, 18:17
EGSLT a écrit: Devenue l’école de tous, elle s’est voulue l’école pour tous sans s'appuyer sur les sciences cognitives, mais plutôt sur une idéologie née dans la tête de certains décideurs, auto-proclamés défenseurs de la bien-pensance. Il en résulte un bordel incommensurable et un classement OCDE PISA dans les profondeurs pour la France. Les élèves apprennent ce que les professeurs acceptent de leur "offrir", enfermés dans un diktat et un dogmatisme sans partage.
Dans tous les pays et économies participant à l’enquête PISA 2015, les élèves de 15 ans les plus défavorisés (quartile inférieur de l’indice du milieu socio-économique) sont moins susceptibles de réussir à l’école que leurs camarades plus favorisés (quartile supérieur de l’indice du milieu socio-économique). La différence de résultats entre ces deux groupes d’élèves est particulièrement marquée en France, où la relation entre performance et milieu socio-économique des élèves est l’une des plus fortes parmi les pays et économies participant à
l’enquête PISA 2015. En d’autres termes, plus on vient d’un milieu défavorisé en France, moins on a de chances de réussir à l’évaluation PISA 2015 (voir le tableau I.6.3a)
En France, les élèves de 15 ans des milieux les plus défavorisés sont surreprésentés dans les filières professionnelles. La différence de score en sciences entre les élèves des filières générales et ceux des filières professionnelles est de l’ordre de 43 points, après prise en compte de leur milieu socio-économique (contre une différence de 22 points en moyenne dans les pays de l’OCDE, voir le graphique II.5.10
En moyenne, dans les pays de l’OCDE, les élèves de 15 ans immigrés de la première génération accusent des scores en sciences inférieurs de 53 points à ceux des élèves non immigrés (contre un écart de 87 points en France). Les élèves immigrés de la deuxième génération obtiennent toutefois de meilleures performances et accusent des scores inférieurs de 31 points aux élèves non-immigrés, en moyenne, dans les pays de l’OCDE (contre un écart de 50 points en France) (voir le tableau I.7.4a).
Lun 20 Mar 17, 20:04
Lun 20 Mar 17, 20:27
Lun 20 Mar 17, 20:35
Lun 20 Mar 17, 21:45
Pedrito a écrit:tout a fait, on est d'accord, on est nuls concernant les écarts et inégalités, pas pour les apprentissages et performances disciplinaires qui sont dans la moyenne. Desolé pour ce hors-sujet, je ne sais pas ce qui m'a pris.
Lun 20 Mar 17, 21:53
Lun 20 Mar 17, 23:23
Lun 20 Mar 17, 23:35
Lun 20 Mar 17, 23:50
Mar 21 Mar 17, 9:19
Mar 21 Mar 17, 10:45
Lolo6153 a écrit:Décidément personne ne veut rester en ligue 2...Tours peut être qui commence à se réveiller avec son 4-0 à VA.
3 points séparent nous les derniers avec Tours 17ème. ..
c'est ultra serré.
Malgré nos carences...on est pas largués au classement..mais va falloir sérieusement se bouger le cul les tangos
Mer 22 Mar 17, 0:02
Mer 22 Mar 17, 0:14
EGSLT a écrit:Robert MALM interrogé sur la ligue 2 et les éventuels descentes en national : " ... Ça risque encore de se jouer à la différence de buts jusqu’au bout. Laval aurait pu faire le trou un peu plus tôt je pense. Mais ils n’ont pas su saisir ces occasions. Laval joue bien, a trouvé son système mais ne parvient pas à garder le score. Dans le meilleur des cas ils font match nul, dans le pire ils perdent. C’est une question d’efficacité, au-delà de l’aspect mental. Ils ne ferment pas le jeu, mais même Marco Simone ne sait plus comment faire. Les joueurs doivent prendre leurs responsabilités pour marquer...".
Mer 22 Mar 17, 11:21
EGSLT a écrit:Vince a écrit:EGSLT a écrit:Petit rappel : Il n'y a pas de mauvais élèves, uniquement des mauvais professeurs.
des conneries, ça. il y a un paquet de mauvais élèves
Aujourd'hui formateur enseignant pour les civils et les professionnels (psychologie comportementale, module violences diverses et principes de survie), je peux te dire que cet adage a raison, il suffit de lire entre les lignes. Si tu préfères, en voici un autre propre au monde de la survie. " Il n'existe pas de mauvais temps, uniquement des mauvais vêtements". En plus direct, ce vieil adage Breton "Il ne pleut que sur les cons" qui ressemble comme 2 gouttes d'eau à la pensée de l'enseignement sous l'orage d'Hagakuré. En clair, il faut apprendre à apprendre pour mieux comprendre, c'est ce que l’on appelle des exercices d’orthopédie mentale. Vu le comportement de la majorité des joueurs à Laval ou ailleurs, c'est en amont qu'il faut éduquer la tête...qui commandent les jambes. Le mental collectif est quasi inexistant !!! C'est pourquoi la descente est programmée dans l'inconscient de tous les tangos. Voir Rome-Lyon fut un régal, un combat de chaque instant pour gagner alors qu'un Laval - Auxerre ou Brest-Laval fut un lâcher prise mental permanent, des matchs pour ne pas perdre.
D’une certaine manière, les modalités d’éducation peuvent être proches de ce que Kant ou Durkheim prônaient. Il n’empêche : désormais, ce qui « vaut » en éducation ne relève plus du même système de références. Principes fondamentaux d’un côté, observation vérifiée de l’autre. L'échec scolaire prend racine dans une conception des adultes en inadéquation avec l'unicité des élèves et les dernières recherches en neurosciences. L’école n'est plus perçue comme le lieu de la condition de la réussite. Devenue l’école de tous, elle s’est voulue l’école pour tous sans s'appuyer sur les sciences cognitives, mais plutôt sur une idéologie née dans la tête de certains décideurs, auto-proclamés défenseurs de la bien-pensance. Il en résulte un bordel incommensurable et un classement OCDE PISA dans les profondeurs pour la France. Les élèves apprennent ce que les professeurs acceptent de leur "offrir", enfermés dans un diktat et un dogmatisme sans partage. Limités par l'ignorance, de nombreux décideurs nous imposent à notre plus grand malheur leur incompétence (éducation, politique, sport, religion...).
Payer les joueurs au mérite peut être une solution (St Etienne)... sinon pour revenir au SLM, un choc psychologique est plus que jamais urgent à tous les étages...mais je crains qu'il ne soit déjà trop tard... depuis les matchs amicaux !!!
Mer 22 Mar 17, 11:38
Reep a écrit:EGSLT a écrit:Vince a écrit:Petit rappel : Il n'y a pas de mauvais élèves, uniquement des mauvais professeurs.
des conneries, ça. il y a un paquet de mauvais élèves
Aujourd'hui formateur enseignant pour les civils et les professionnels (psychologie comportementale, module violences diverses et principes de survie), je peux te dire que cet adage a raison, il suffit de lire entre les lignes. Si tu préfères, en voici un autre propre au monde de la survie. " Il n'existe pas de mauvais temps, uniquement des mauvais vêtements". En plus direct, ce vieil adage Breton "Il ne pleut que sur les cons" qui ressemble comme 2 gouttes d'eau à la pensée de l'enseignement sous l'orage d'Hagakuré. En clair, il faut apprendre à apprendre pour mieux comprendre, c'est ce que l’on appelle des exercices d’orthopédie mentale. Vu le comportement de la majorité des joueurs à Laval ou ailleurs, c'est en amont qu'il faut éduquer la tête...qui commandent les jambes. Le mental collectif est quasi inexistant !!! C'est pourquoi la descente est programmée dans l'inconscient de tous les tangos. Voir Rome-Lyon fut un régal, un combat de chaque instant pour gagner alors qu'un Laval - Auxerre ou Brest-Laval fut un lâcher prise mental permanent, des matchs pour ne pas perdre.
D’une certaine manière, les modalités d’éducation peuvent être proches de ce que Kant ou Durkheim prônaient. Il n’empêche : désormais, ce qui « vaut » en éducation ne relève plus du même système de références. Principes fondamentaux d’un côté, observation vérifiée de l’autre. L'échec scolaire prend racine dans une conception des adultes en inadéquation avec l'unicité des élèves et les dernières recherches en neurosciences. L’école n'est plus perçue comme le lieu de la condition de la réussite. Devenue l’école de tous, elle s’est voulue l’école pour tous sans s'appuyer sur les sciences cognitives, mais plutôt sur une idéologie née dans la tête de certains décideurs, auto-proclamés défenseurs de la bien-pensance. Il en résulte un bordel incommensurable et un classement OCDE PISA dans les profondeurs pour la France. Les élèves apprennent ce que les professeurs acceptent de leur "offrir", enfermés dans un diktat et un dogmatisme sans partage. Limités par l'ignorance, de nombreux décideurs nous imposent à notre plus grand malheur leur incompétence (éducation, politique, sport, religion...).
Payer les joueurs au mérite peut être une solution (St Etienne)... sinon pour revenir au SLM, un choc psychologique est plus que jamais urgent à tous les étages...mais je crains qu'il ne soit déjà trop tard... depuis les matchs amicaux !!!