J'ai envie de citer Arthur Rimbaud : "je me crois en enfer, donc j'y suis"
Sérieusement, cette équipe ronronne, tâtonne, vivote encore plus que les saisons précédentes dans l'entrejeu.
On n'a même plus l'assise défensive louée quasi unanimement, car le premier but est un sketch collectif, et Ba met Konaté sur Orbite sur le second, qui s'en va contourner le satellite Bouet encore dans la lune semble t il. Je ne vais pas charger davantage Bouet qui sort une grosse parade en début de match.
A part Bosetti, on a une attaque décimée par les blessures et freinée par l’affaire NDilu, et toujours aussi inoffensive. Un joker s'impose...
C'est la moindre des choses que Laval pousse un peu à 0-1 et 0-2, sinon c'est d'une pauvreté affligeante, tant techniquement que sur le plan de l'engagement et de la cohésion. Pour chercher les motifs de satisfaction, il faut chercher très loin ce soir.