Fabien 234 a écrit:Tu vas être triste et déçu je le sais de source sûre 2025 le basser n'existera plus et la tribune crédit mutuel rouvre une société comme l Apave a réautoriser son ouverture
Petit petkipu a écrit:J'ai pas confiance en nos dirigeants pour nous faire un petit stade sympa .
Plus j'y pense et plus je me dis qu'ils sont capable de nous pondre un projet avec une piste d'hatlétisme histoire de faire les malins , on serait parmis les seul en France ( Charléty étant un vrai stade fait pour l'hatlé ) ...ce serait top, il servirait pour le meeting d'hatlé de Laval , enfin surtout pour faire passer l'épreuve de sport aux examens des scolaires , puis soyons fou pour la kermess des l'écoles aussi .
Va nous vendre du rêve Lulu l'écolo
tinetine13 a écrit:Bien entendu, la rentabilité d'un stade est quasiment impossible. Et ce n'est pas nécessairement l'objectif en soit. Ce sont les impacts indirects qui sont recherchés, sur l'attractivité du club, sa capacité à faire venir des bons joueurs, les revendre plus cher. Il y a aussi l'impact image de l'entreprise et l'impact sur l'économie locale.
Et bien sûr que le développement périphérique se fait et s'est toujours fait au détriment du centre-ville. Saint-Brieuc est un cas d'école en la matière. Cela n'empêche pas les élus de voter des projets qui vont dans ce sens, parce que ça fait bien de dire qu'on crée des dizaines d'emplois. Alors qu'en réalité, c'est déshabiller Jean pour habiller Jacques. Mais ça, c'est le cadet des soucis des promoteurs et des dirigeants de clubs.
Quant au chantage au foncier, c'est le jeu j'ai envie de dire. Parce qu'on frôle la collusion public/privé, sur des prérogatives qui sont à la fois du ressort du public et du privé. Le privé va dire qu'il entreprend une action d'utilité publique finançant un équipement structurant pour le territoire, alors il tente d'avoir un minimum de soutient indirect de la collectivité. Sachant que les élus et acteurs économiques majeurs du territoire se connaissent très bien.
Pour en revenir à Brest, le portage financier est bouclé et sera 100% privé. C'est une certitude. Les seules entraves sont écologiques, Brest étant l'un des territoires les plus en avance en termes d'urbanisme et d'aménagement du territoire, avec des objectifs de 0 consommation nette d'espace entre autres. Il y avait déjà un imbroglio autour d'u escargot retrouvé en presqu'île de Plougastel, lorsque se posait la question d'un nouveau centre d'entraînement. Bref, les oppositions locales à ce projet sont fortes. Financièrement, Le Saint est solide et est déterminé à finaliser son affaire.
En attendant, le contexte électoral fige nécessairement les choses, même si la réélection probable de François Cuillandre devrait permettre de relancer le dossier.
Folliot27 a écrit:tinetine13 a écrit:Bien entendu, la rentabilité d'un stade est quasiment impossible. Et ce n'est pas nécessairement l'objectif en soit. Ce sont les impacts indirects qui sont recherchés, sur l'attractivité du club, sa capacité à faire venir des bons joueurs, les revendre plus cher. Il y a aussi l'impact image de l'entreprise et l'impact sur l'économie locale.
Et bien sûr que le développement périphérique se fait et s'est toujours fait au détriment du centre-ville. Saint-Brieuc est un cas d'école en la matière. Cela n'empêche pas les élus de voter des projets qui vont dans ce sens, parce que ça fait bien de dire qu'on crée des dizaines d'emplois. Alors qu'en réalité, c'est déshabiller Jean pour habiller Jacques. Mais ça, c'est le cadet des soucis des promoteurs et des dirigeants de clubs.
Quant au chantage au foncier, c'est le jeu j'ai envie de dire. Parce qu'on frôle la collusion public/privé, sur des prérogatives qui sont à la fois du ressort du public et du privé. Le privé va dire qu'il entreprend une action d'utilité publique finançant un équipement structurant pour le territoire, alors il tente d'avoir un minimum de soutient indirect de la collectivité. Sachant que les élus et acteurs économiques majeurs du territoire se connaissent très bien.
Pour en revenir à Brest, le portage financier est bouclé et sera 100% privé. C'est une certitude. Les seules entraves sont écologiques, Brest étant l'un des territoires les plus en avance en termes d'urbanisme et d'aménagement du territoire, avec des objectifs de 0 consommation nette d'espace entre autres. Il y avait déjà un imbroglio autour d'u escargot retrouvé en presqu'île de Plougastel, lorsque se posait la question d'un nouveau centre d'entraînement. Bref, les oppositions locales à ce projet sont fortes. Financièrement, Le Saint est solide et est déterminé à finaliser son affaire.
En attendant, le contexte électoral fige nécessairement les choses, même si la réélection probable de François Cuillandre devrait permettre de relancer le dossier.
Depuis le temps qu'on parle de la rénovation de Le Basser ( au moins 20 ans ), ça serait déjà finit depuis longtemps. Enlever les deux verrues et agrandir la tribune "présidentielle" de chaque côté, mettre une tribune derrière chaque but, installer un grand panneau d'affichage, pour les pubs et le score.
Avec ça déjà, le stade aurait une autre gueule, et sur vingt ans, ça aurait pu être fait !
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