Que ce soit Moreau ou Pétaouchnok et autres entraîneurs à la mode ( car il y a une mode de l'entraîneur). Ca sera toujours la même chose.
On fonctionne par copinage...... comme le fc Nantes qui a recruté Domenech sur les conseils de Gilles Favard collègue journaliste à l'équipe tv (condamné pour trafic de faux billets à la coupe du monde 98). Domenech qui soit dit en passant n'a jamais pris la parole après Knyssa....attendant sagement de faire un livre avec un poto journaliste et se faire du blé.......curieux pour un fonctionnaire de l'état de ne rendre compte aux citoyens qu'à travers un livre qu'il n'a même pas écrit. Je crois que je vais faire pareil moi. Publier les bulletins et les vendre aux parents. Bref comment voulez vous que des joueurs mercenaires soient motivés par des mafieux.
Tout cà pour dire que le copinage, le piston , le manque de transparence, d'honnêteté, de droiture et de vérité ( cà fait quand même un sacré moment que Frapoli nous prend pour des cons avec ses déclarations) n'est aucunement motivant pour les joueurs. D'ailleurs on réussit toujours nos débuts de saison.....après les joueurs se rendent compte que la mariée était trop belle et que derrière sa beauté se cache quelques vices.
Je crois que même Zidane finirait par craquer son pantalon sur le banc lavallois.
Je suis par ailleurs favorable au droit de cuissage.Ca fonctionne bien à Angers.
Enfin pour terminer ces quelques phrases aux vertus thérapeutiques , rappelons au mari ou au tonton do Brasil que nous avons été la seule surprise hier et que tous les clubs de national ont réussi l'exploit d'éliminer des divisions inférieurs. Ceci dit,je comprends que la débauche d'énergie consacré à la lutte pour le maintien laisse des traces.
Je suggère à Benoît de créer un sujet caustique " les excuses des dirigeants et Frapoli" afin de leur proposer de nouvelles idées pour se foutre de notre tronche.
J'en ai une pour novembre 2021 et une élimination en coupe contre une district: " Ca s'est vu tout de suite que nous n'étions pas sur un même pied d'égalité physiquement. Le village contre qui on jouait n'était pas reconnu par le GPS et mal indiqué par les panneaux de circulation. De plus, notre bus a du faire beaucoup de manoeuvres aux carrefours trop étroits et s'est enlisé sur un chemin. Nous avons du faire 500 m à pied. Il nous a fallu ensuite beaucoup de temps pour trouver le champ dans lequel nous jouions."